Dans l’édition du jour, j’ai envie de te parler d’une vidéo de Guillaume Moubèche sur l’ambition, et ensuite d’un concept dont j’ai parlé à pas mal de femmes que j’accompagne en coaching : le fait que parfois, aimer, c’est partir.
So first, petit résumé de la masterclass sur l’ambition (mais comme les paysages sont magnifiques en vrai je te conseille de la regarder) :
Ce que le cerveau peut visualiser, il peut le créer. Pour devenir quelqu’un de différent, il faut imaginer qui on veut devenir (langage, comportement, attitude…). Quelle est la personne qu’on va devenir en réalisant cet objectif ? Et est-ce qu’on aurait envie de rencontrer cette personne ?
Le plus important, c’est le premier pas, stopper l’inertie
Ne pas suivre les règles
Quand on est ambitieux, on est seul (surtout au début)
Le succès n’est pas une ligne droite, c’est pas grave de faire des détours, au contraire on peut apprendre plein de choses le long du chemin et c’est ce qui fait qu’on deviendra la personne qu’on rêve d’être
La vie est injuste, on ne part pas tous du même point. Du coup, on a 2 choix :
Soit on se dit que c’est injuste et qu’on est une victime, on se justifie, on se fait plaindre.
Soit on prend notre destin en main et on réalise que le chemin supplémentaire qu’on a parcouru nous a rendus plus forts
Rester focus sur ce qu’on contrôle (nos actions), et pas les résultats
Les chemins les plus difficiles sont souvent les moins empruntés
Apprécie le chemin, quel que soit l’objectif
Plus on va voir d’opportunités plus on va avoir envie de faire des choses différentes, mais du coup perte de focus qui fait perdre du temps. C’est ok si on veut kiffer plutôt qu’aller vite, mais si on veut aller plus vite, éviter les shiny objects.
Les objectifs ne sont pas une finalité, quand on atteint un objectif ambitieux, d’autres émergent
Et sans transition…
L’amour n’est pas la relation. Parfois aimer, c’est partir.
.
En ce moment, j'accompagne plusieurs femmes qui pensent pensaient que le fait de maintenir un lien relationnel (même souffrant) prouvait leur amour pour l'autre.
Sauf que parfois, arrêter de relationner (temporairement ou définitivement), c'est le plus grand acte d'amour qu'on puisse réaliser pour permettre à chacun d'exprimer qui il est devenu, et qui il souhaite devenir.
.
Ce qui rend ce choix difficile, ce sont nos peurs : celle de la solitude, du manque de ressources, de la critique sociale, de la souffrance de l'autre...
Mais au dernier jour de ta vie, de quoi auras tu été fier·e ?
D'avoir maintenu une relation souffrante contre vents et marées pour éviter la douleur d'une rupture (en prenant le risque de ne pas te réaliser pleinement et d'empêcher l'autre de se réaliser également) ?
Ou d'avoir réussi à prioriser tes besoins, accepter l'autre tel qu'il est, et partir même si c'est douloureux (en étant au clair avec ce que tu perds, mais aussi tout ce que ça va te permettre sur du long terme) ?
.
Y'a pas de choix meilleur qu'un autre.
Mais ce qui est certain : c'est que tu as le choix.
Et si tu veux un coup de pouce pour dépasser une relation source de souffrance, tu peux réserver une première séance de coaching offerte juste ici.
Et si cette édition peut servir à un-e de tes proches, c’est le moment de lui partager (si plus de gens se créent une vie kiffante qui les épanouit, le monde sera assurément plus stylé !)
Sur ce, je m’en vais festoyer chez ma meilleure pote avant la semaine pleine de shootings et de montagnes qui s’annonce, et je te dis à très vite 🫶🏼
Avec tout mon amour,
Nadège